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Zig-Zags dans la Savane...

1 avril 2016

Poème en forme de Printemps et de cerise.

IMG_1790

 

 Signatures d'averse dans les couloirs éphemérides

Une sauterelle s'affaire à ses bagages 

Avec le  prime ministère des phalansterres

Une méduse en otage.

Puvis de Chavannes en oublie sa djellaba

Là-bas, ils sont allés là-bas, et ils ont tout pris.

Pimprenelle et chihuahuas, oligosol et Daktari,Carybde et Scylla

Et printemps arabes unis.

Le docte nocte  ambule et déambule chez les zébulons.

D'hélium à hélicon , la page se tourne (le dos).

Tournedos.

Le dos biaise, le fa dièse,le mi bémolle,le fa décolle

Le Ré s'accolle à l'Ile de Sein.

Symbiose.

Périple numérique au ras du gazon avec Florian Gazan.

Chez Gazogène,Paix à son âme

Le propane a mis un but à l'âne

Et la Clé de Sol a mordu à l'âme-Son.

Je te lutine la gargamelle et te mordille les lampions.

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20 janvier 2016

Légendaire chaque jour...

"Je n'ai de sens qu'apres ma phrase,
je n'ai un sol sous les pieds qu'apres le pas,
je n'ai aujourd'hui que demain,
je ne suis moi que toi,
je ne prends ma place que si je l'oublie, 
parler me defait si je ne le defais pas."

AkiGravur


Henri Meschonnic "Legendaire chaque jour"
Collection "Le chemin" NRF /Gallimard
 
Du même auteur, une réflexion sur ce qu'est vraiment la Poésie, quelque chose de tout premier ordre, d'une  dimension fondamentale ,loin de l'idée neuneu de la poésie scolaire.. ! :  
 "Il s’agit de montrer que la poésie, contrairement à l’idée reçue qu’elle n’intéresse que les poètes ou très peu de lecteurs, concerne chacun, même s’il ne le sait pas, parce qu’elle met en jeu tout ce qu’on fait et tout ce qu’on sait du langage, donc tout ce que la société fait de chacun de nous, et que chacun fait des autres. Et il faut voir comment.
Célébration de la poésie, Verdier

...Le poème, tel que je l’entends, transformation d’une forme de vie par une forme de langage et d’une forme de langage par une forme de vie, partage avec la réflexion le même inconnu, le même risque et le même plaisir, le même pied de nez aux idées reçues du contemporain. Puisqu’on n’écrit ni pour plaire ni pour déplaire, mais pour vivre et transformer la vie.
Éthique et politique du traduire, Verdier 
22 avril 2015

Dimoné..artiste nature ! Auteur, poète & démon du Clapas...

20 décembre 2014

Naissantes , Terre sculptée/Poème kirlien

 

 

Naissantes , Terre sculptée/Poème kirlien

 

 

bs_magda3 

Fleurs de terre nées Grâces 

Déesses,infantes des rues,

Nées dans la vase

 évasives 

A fleur de sable et d'argile

Aux doigts habiles et glorieux du sculpteur

  Ballerines en scaphandres : oubliez !

 Sécurité : montrez vos badges et vos armoiries !

Le couteau dans le Play

Grimaces spiralées fuient

Rendent l'âme pour une chambre avec vue.

bs_magda2

Oeuvres : Magdalena Kopacz

 

 

 

10 octobre 2014

Action-PoèSing

 

G4

Je saute , zébulon zéphyr, de branche en acrostiche, perpette padam en cacahuètte, chouette effraie.

Je nage , gorille auroch en esturgeon, chenille carpe à métatarses.

je vole, livre libre en godzilla, chinchilla chaud en soucoupotte, cahier tourneboulé en vrille.

Je poétise, ramassis de cils à rimmel large spectre, fantôme du gibet matamore.

Je hêle, catadioptre à ciel ouvert, silure chamarré aurifère, doryphore nacré.

J'harangue, rien à vendre que des palmiers, volants aux songes de toute l'année, perdrix cachées sous les tonnelles. 

Kirl 2011

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25 septembre 2014

Escapades Provence Eté 2012/Musique : Monte Cristo 2

10 septembre 2014

Le Jardin du Possible !

 

Ecoutes.....

                  Ecoutes....

       Ecoutes...

 

Promesse

 

 

Saisir le courage d'écouter (le tableau)

 

Pour que se dise un moment

 

Une illusion, une vérité 

 maurice_esteve_1904_2001_composition_1993_1163673661412321

La Vie est Une

Vivre c'est répondre et être

Se heurter

Se confronter à l'altérité

Célebrer le gain et la perte

 

La Parole (du peintre) est vivante
Vivantes retrouvailles de tous les mondes
Joie et Lumière

L'expansion fédère le(s) Vivant(s) !

Kirl 2010 

 Papart Collage de Max Papart

15 juin 2014

Chronique musicale : Ataraxia, Une "Symphonie sans nom "

 

 Ataraxia

 Francesca
 


En ces temps de debut de Deuxieme millénaire un epais brouillard s'etait répandu sur la surface du monde civilisé . 

Une obscurité touj ours plus profonde.
Si profonde qu'elle effaçait les cris. 
Nous n'avions même pas la chance d'être dans la Nuit.
Une lumiere aggressive qui n'etait plus celle du Soleil , encore moins celle d'une simple bougie, nous aveuglait sans répit, à coups d' images vides et prétentieuses et de décibels sourds, attentive à nous cacher à jamais les yeux de l'âme.

Habitués depuis longtemps au pire , les humains eprouvaient de plus en plus rarement la volonté de s' en detourner pour retrouver la lumière du jour, les rythmes naturels du temps, le lait de la tendresse humaine, le souffle de la Vie..

Et pourtant au coeur du Silence, "Cela" demeurait le même, Tout etait là.
Et une musique venu comme nous du fond des âges exprimait avec éclat cette Beauté perdue. 


ATARAXIA.

Le retour des magies an
ciennes.
Les statues dormantes nous contemplaient, apaisées, abreuvées des larmes de l'Esprit dans sa félicité première.
Au fil de leurs instruments les
guetteurs achevaient leur "Symphonia sine nomine".
Le Fil des éternités. 
La Promesse retrouvée.

Dans les airs s'etait donc élevée une Symphonie sans Nom en 10 mouvements gravés dans la cire qui iraient au devant de la lumière sous les traits d'une famillière petite rondelle de Métal .

Que
lques mots suffiront à en dire l'éclat. 
Un prélude à l'Orgue sacré et puis vient la Voix.
Francesca et son double d'au-delà.
Une entrée solennelle, rappel des tourments amoureux per una Canzona.


" Le banc des amoureux s'ouvre comme une voute céleste.
Journée antique, jardins cachés apercus par des puissantes grilles...et nous rions,rions ,rions insoucieux ,seuls dans le lieu sacré, miroir d'iris,branches flottantes qui dansent dans le ciel avec nous et derriere seulement siècles et arcades...."                                                      


Preghiera....Priere.
Plénitude au coeur du vide et des tombeaux abandonnés de la Memoire.
Suit une "marcia ceremoniale" et puissante, onguent d' orgues de grâce grégorienne.

Elevazione. 
Berceuse medievale d'une pureté radieuse, l'auditeur est à genoux, le coeur en joie.

Un goût de paradis retrouvé.
En son sein une puissante aspiration a transformer le plomb de ce monde en or.
F2
Chez Ataraxia le drame du monde et de la condition humaine n'est pas nié mais cotoie et dessine comme une évidence des royaumes de noblesse aux contours parfaits.

Pastorale : Nulle part entendue, une approche musicale mysterieuse par tant de simplicité et de grâce diaphane ,une ballade chantée en latin comme la plupart de ces morceaux. Ce latin qui jadis imprégna la Terre de ce pays avant l'éclosion d'un dialecte local qu'on appellera le francais..:-) 

Ode est encore une offrande.On dirait que cette Canzona fut ramenée d'un voyage sur une autre planète. Vénus sans doute, ou la Venise de Philippe Sollers. 
Les paroles parlent justemment de vol, le vol libre des mouettes..Muette Evidence. 

Vespertilla clot cet Opus en rappelant peut-être les meilleurs moments des Cocteau Twins (Victorialand) 

"Ma vie semble être une corolle d'obscurité .Est-ce la nuit de ma mort ? Le Baiser du marbre est sur mes lèvres..Il m'entraine sans retour (Il m'enporte a nouveau..) " 
Musicalement, jamais evocation de la mort ne fut aussi légère, aussi douce, aussi claire et lumineuse....

Là n'est pas la moindre des promesses de cette oeuvre, toute enchantée d'
ombres à la fois limpides et surnaturelles. 


P
our écouter :
www.Ataraxia.net  Cliquez sur Discography à gauche, puis sur un album puis sur les titres surlignés en Bleu
 

 

 

20 février 2014

Morîce Bénin , un poète indispensable...

 

MORICE BENIN

  


  

Morice BENIN ecrit des  chansons à la patte   particulière,

écrites entre chien et loup, entre plénitude

et rébellion.

Besoin de se reconnaître et nécessité de nous

délester de l' inutile....Maniant humour,

tendresse et poésie à égale dose. Urgentissime!

 

BENIN sait écrire des chansons et sait chanter.

Mieux que ça...quand il chante ça sort profond,

avec des pleins et des reliefs, avec des réserves

de fraternité, de passion et d' humour.

Une tendresse qui comme son indélébile

empreinte, la caresse d' une chanson d' une rare

intelligence...

Ses chansons avancent comme elles peuvent vers

l'essentiel, ses textes commencent à rayonner

d' une joie intérieure en espérant ardemment

un jour devenir anonymes car vécus par tous...

  

De nombreux albums, plus de quarante ans de vie

pour les chansons de cet homme dont l'inspiration

ne s'essouffle pas.

Que de chemin parcouru depuis ce fameux soir du

Larzac où il mit le feu aux illusions et se révélait

au plus grand nombre des 150.000 pacifistes

réunis là!

 

http://morice.com.free.fr/

20 janvier 2014

Métamorphose-lumière, l'alchimie dorée..Kirl2009

meta1

 

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 Ce que nous sommes est Sans visage et Sans nom.

 

 

 

 

 

10 décembre 2013

L'Oiseau blanc

Fleur O

 

 

Atrappes-moi m'avais-tu glissé,facétieuse !

Je suis monté sur tes hautes branches.

Je t'ai attrappée,c'etait facile, puis je t'ai emmenée au Temple de l'Amour ou nous avons joué et dansé avec les oiseaux de toutes les couleurs.

Je t'ai déshabillée délicatement  de tout ton passé terrestre ,fil aprés fil...instant aprés instant, heure aprés heure,tu riais comme une possédée..!

J'ai nettoyé tes corps subtils en faisant bruler des effluves de  sauge et de   myrrhe.

Le troisième jour je  t'ai chanté des poèmes , baignée à la Fontaine des nectars, parée du tissu des Muses, couverte de sucre glace à la canelle.

Le quatrieme jour je me suis reposé, nous avons contemplé la Lune en silence... 

Le cinquième jour j'ai envoyé avec tendresse dix mille pétales de Rose pour se méler au miel de tes auras.

Au son des harpes, nous sommes retournés à la Fontaine; tu etais prête à déguster...

8 septembre 2013

BOCANADA, Danse du Sable et du Vent..

5 août 2013

"Stabat Mater Furiosa" par la Cie Les Trois Temps !


 

10 juin 2013

Âmes errantes aux coins des Dimensions/Prose kirlienne


 Âmes errantes aux coins des Dimensions
Ames oubliées, bannies, en perdition
Ames coincées dans notre monde
Ayant perdu de la vie le Sens
Sourde à la Lumière qui vous attends
De l'Autre côté de l'Oubli

Ames, laissez aller le passé qui n'est plus
Une prière, une étincelle, un sourire vous rendra la vue
Ames prenez soin de vous aux nues
Entourées d'anges gardiens
Retrouvez votre âme enfantine et votre parcours 

 

_guy_garnier_oiseaux_240x310
                                                                                                       Le parfum de l'Enchanté,la liberté
Oubliée sur une Terre lourde de soucis
Dans un corps qui ne fut
Qu'un véhicule pour jouer au terrestre


Dans le grand jeu de l'Oubli
De nôtre Nature ultime et éternelle
Loin de la poésie des cimetierres
Ici comme Là-haut et là-bas, 
l'Amour et le Désir à chaque saison renaît...

 

illustration :Guy Garnier "Oiseaux"

Kirl 2007

10 mars 2013

Poésie caramelle

Fille de la nuit, soeur sorore
Chair fraise , ailes de géante
Ton corps penché dans le mien
Tes mots tracés sur la page silence

Echappée de ton île
Jamais revenue de cet exil
Au royaume de poésie
L'univers sel nous lit et nous relie

Je lèche ta peau d'Ylang alanguie
D'étoiles striées
Blessure sucrée de rêves
Boucles aux frontières caramelles
Notre histoire danse
Goélands et caravelles.

fillenuit


           **************************************               ***************************************   
                        ***** 

 

Ecrit pour une image de Verre.....

Cette calandre vacille,
Lunette astronomique à double foyer :
Je vois double dans mon verre, à pied !
Le nez couché dans l'herbe, 
pelouse badigeo-bidonnée
Un bateau part du port , épique
Otan ça tangue encore
Le Cristal s'entrechoque
Et la mélée débloque 
Trébuchante et sonnante
Pour Louis la Breloque. 
Toquante tic toc, mâle army
Marée des PMU de Provence
Jardineries à deux blocs
Filouteries floutées filochardes
Civet d'Arques en pétales de brosse 
Concerto pour bris et croisières..
En plein Air !
 
Kirl 2008
26 janvier 2013

Naissance à l'Etre.....

 

naissance2l_etre_jeanineB

 


Dans la luxuriance d'une Nature 
souriante comme au premier jour
Perfection de l'Amour
Sous les Ors fleuris et l'Azur

D' un oeuf de neige blanche
Fécondé par la grande licorne ailée
La Beauté apparut
Femme-Fée toute de grâce vêtue
Pour la Danse à l'unisson
Dans un grand frisson primitif !

 


Femme, fleur, joie, instant
Tout nait perpétuellement
et tout est à naître encor .
Lumière-naissance
Lumi nait sens. 

22 novembre 2012

Girls in Hawaï "Found in the Ground"

16 octobre 2012

Lhasa live...

15 septembre 2012

Impro sur image

 

681

Prose de Kirl sur une oeuvre de Christ.2010

 


De Jaspe une planète jappe
Disque lacté, soeur sonore
Muette et immobille
Dans l'immobilier cosmique

Etoile de Mer ou ballon-sonde from Nasa
Destin ou Quasar ?
Jaune est l'effroi qui l'entourtoure
Quand le rouge noir grésille sablonneux

Friture commanche sur la ligne verte
Pinceaux en doigts de confiture
Un oursin à face de Homard
Joue à l'enfance de l'art !
 
 


De Jaspe une planète jappe
Disque de lacté, soeur sorore


Muette et immobille
Dans l'immobilier cosmique


Etoile de Mer ou ballon-sonde from Nasa
Destin ou Quasar ?


Jaune est l'effroi qui l'entourtoure
Quand le rouge noir grésille sablonneux


Friture commanche sur la ligne verte
Pinceaux en doigts de confiture


Un oursin à face de Homard
Joue à l'enfance de l'art !

13 septembre 2012

Jean-François Zygel présente David Hykes (Chant harmonique)

 

 

 

   "La contrainte ne s'exerce que dans la recherche de l'équilibre et de la fusion entre les instrumentistes. En préservant l'intime sur le déclaratif, Zygel nous enchante. Improvisations captivantes.

 

4 jours passés en totale autarcie, coupés du monde, dans une salle parisienne donnent ce récital improvisé, unique qui reflète les mondes intérieurs, magiciens du pianiste et donc, compositeur, Jean-François Zygel.

jean_francois_zygel_improvisations_108734436

A contrario de l'album jubilatoire, d'un même genre, signé Karol Beffa, paru au même moment (juin 2008) qui reste en solo, le clavier de maître Zygel s'accompagne de complices, spéculateurs identiques en phase, sur les modes en résonances, jonglant avec le murmure, l'énigmatique, le nuageux, le brumeux, le flottant aussi et même la transparence liquide, tant les 5 premières impros s'inscrivent dans l'esprit d'un paysage de pluie.

Bourdonnement du clarinettiste Philippe Berrod, chants d'oiseaux plus vrais que les vrais (Johnny Rasse et Jean Boucault dans "après la pluie" justement), vibrations de Thomas Bloch (harmonica de verre).

On sait le talent du pianiste Zygel accompagnateur des images, pour le cinéma muet: prenez par exemple, le remarquable dvd L'Argent de Marcel L'Herbier réédité par Carlotta films, pour lequel Jean-François Zygel signe la bande musicale d'une efficacité impeccable. Ici, rien de tel: aucun support visuel pour que naisse la magie du son.

Dans la lumineuse notice pourtant dédiée à l'explicitation de la genèse du fait improvisé, Zygel soi-même reconnaît qu'improviser relève d'une gageure qui se fait "dédoublement": "Quand on improvise, il faut être à la fois à son affaire et ailleurs, comme dédoublé...".

Les climats esquissés brossent un cycle de visions évanescentes où l'énnoncé plus murmuré que proclamé, insiste sur l'incertitude des ces mondes parallèles et simultanés. Le très proche, le lointain; le présent et l'absent; l'impact et son onde ou sa résonance... l'univers musical ainsi improvisé fait perdre pied, hors du temps et du parfaitement conscient.

_JF_Zygel_Hors du temps rentabilisé et mesuré: suspension recréative d'une mémoire libérée qui (se) joue par réminiscences et réitérations ("giboulées").

Césure totale ensuite avec "course", entraînée dans une gradation dramatique plus évidente (9 minutes). Poésie allusive et tragique ("chambre noire": mariage sombre du célesta et du piano), dédoublement de "Carillons" (repris dans le dernier épisode: "Epiphanie"), duo inquiétant (célesta, clarinette de "Bali"), plus détendu (piano, clarinette de "Romantique")... chaque épisode est un voyage intérieur.

On aime ce geste toujours fin et suggestif, cette science des climats qui naît des alliages de timbres réussis. La connivence du pianiste et de ses acolytes est en tout point idéale.

La contrainte ne s'exerce que dans la recherche de l'équilibre et de la fusion entre les instrumentistes. En préservant l'intime sur le déclaratif, Zygel nous enchante. Improvisations captivantes.

Jean François Zygel: Improvisations (2006). Jean-françois Zygel (piano et célesta), Philippe Berrod (clarinettes), Thomas Bloch (harmonica de verre), Johnny Rasse et Jean Boucault (chants d'oiseaux)."

Parution: juin 2008

TexteGuillaume-Hugues Fernay  

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